Les militants arrêtés en Turquie sont libérés en attendant leur procès
27-11-2009
Après cinq mois et 20 jours de prison, le tribunal correctionnel turque a décidé de libérer les 22 militant(e)s (10 femmes et 12 hommes) détenus fin mai. L'étape suivante, de la procédure d’investigation sur l'implication présumée des accusés avec une organisation illégale, aura lieu le 2 mars 2010. Dans cette première phase, qui a duré deux jours, jusqu'au matin du samedi 21, ont été entendus les témoignages de tous les prisonniers. Par manque de temps, neuf autres personnes, qui sont en liberté et en attente des procédures judiciaires, n'ont pas été entendus.
150 personnes ont assisté au procès pendant toute sa durée. Parmi elles une délégation internationale de plus de 40 personnes, aussi que les familles des prisonniers – des fils adolescents, des parents âgés - amis et camarades des militants politiques. Dehors, les militants de KESK - Confédération des syndicats des fonctionnaires turques - portaient des pancartes disant « ne touchez pas à KESK », Ils ont été présents tout au long de la journée en alternance avec des groupes d’étudiant-e-s et des organisations de lutte pour les droits humains.
Toutes les femmes emprisonnées se sont présenté devant leur juges en tant que féministes. Toutes ont été ou sont actuellement responsables de comités de femmes (au niveau régional ou national), de syndicats du secteur public liées à la KESK. L'une des dix femmes accusées a commencé son témoignage au cours du procès en dénonçant le rapport du procureur comme étant une diffamation patriarcale.
Pour lire la version intégrale, cliquez:
http://www.worldmarchofwomen.org/structure/cn-groupes/europe/turquie/trial2009/decision1120/fr
150 personnes ont assisté au procès pendant toute sa durée. Parmi elles une délégation internationale de plus de 40 personnes, aussi que les familles des prisonniers – des fils adolescents, des parents âgés - amis et camarades des militants politiques. Dehors, les militants de KESK - Confédération des syndicats des fonctionnaires turques - portaient des pancartes disant « ne touchez pas à KESK », Ils ont été présents tout au long de la journée en alternance avec des groupes d’étudiant-e-s et des organisations de lutte pour les droits humains.
Toutes les femmes emprisonnées se sont présenté devant leur juges en tant que féministes. Toutes ont été ou sont actuellement responsables de comités de femmes (au niveau régional ou national), de syndicats du secteur public liées à la KESK. L'une des dix femmes accusées a commencé son témoignage au cours du procès en dénonçant le rapport du procureur comme étant une diffamation patriarcale.
Pour lire la version intégrale, cliquez:
http://www.worldmarchofwomen.org/structure/cn-groupes/europe/turquie/trial2009/decision1120/fr