Première journée: 34 pays, 80 femmes, un seul idéal
21-11-2011
Une parade de banderolles au nom de chaque pays représenté à la VIII Rencontre internationale de la Marche mondiale des femmes, ouvre officiellement les activités à Quezon City, Philippines ce 21 novembre. Plus de quatre-vingt femmes participent à la rencontre, venues de 34 pays.
Des déléguées livrent un bref message présentant la symbolique des quatre éléments si importants pour les femmes, et ce, partout dans le monde. Puis, nous assistons à un spectacle de musique et de chants traditionnels réalisés avec des jeunes en provenance de plusieurs régions du pays. C’est un appel à la liberté, à la justice, et à paix pour les femmes de toute la planète.
Miriam Nobre, coordonnatrice du Sécretariat Internationale de la MMF, livre un discours d’ouverture. C’est un appel à la mobilisation pour changer la situation vécue par les femmes, car la crise capitaliste touche particulièrement les femmes.
C’est aussi une dénonciation des attaques à la planète, pensons aux saccages des ressources naturelles, à l’exploitation des populations locales, dont les compagnies minières canadiennes sont particulièrement actives partout dans le monde.
Nous assistons aussi à une attaque aux droits des femmes, pensons particulièrement aux reculs sur le droit à l’avortement.
Quatre idées majeures ressortent du débat:
1 – Nous sommes un mouvement enraciné dans les luttes locales avec des relations et strategies internationales
2 – Nous articulons les points communs des luttes autour des quatre champs d’action de la MMF
3 – Nous créons collectivement des experiences democratiques d’autogestion auxquelles nous pouvons toutes contribuer
4 – Nous construisons des alliances qui peuvent renforcer la lutte féministe dans tous les domaines.
La tournée s’est terminée avec la « Nuit de solidarité », oú chaque pays a partagé de sa culture. Les brésiliennes ont improvisé une « batucada », une femme d’une première nation du Canada a presenté son hymne national qui est dansé, au lieu de être chanté comme d’autre hymnes. Et la portugaise a chanté une chanson sur une femme qui faisait partie de la révolution des Œillets.
Des déléguées livrent un bref message présentant la symbolique des quatre éléments si importants pour les femmes, et ce, partout dans le monde. Puis, nous assistons à un spectacle de musique et de chants traditionnels réalisés avec des jeunes en provenance de plusieurs régions du pays. C’est un appel à la liberté, à la justice, et à paix pour les femmes de toute la planète.
Miriam Nobre, coordonnatrice du Sécretariat Internationale de la MMF, livre un discours d’ouverture. C’est un appel à la mobilisation pour changer la situation vécue par les femmes, car la crise capitaliste touche particulièrement les femmes.
C’est aussi une dénonciation des attaques à la planète, pensons aux saccages des ressources naturelles, à l’exploitation des populations locales, dont les compagnies minières canadiennes sont particulièrement actives partout dans le monde.
Nous assistons aussi à une attaque aux droits des femmes, pensons particulièrement aux reculs sur le droit à l’avortement.
Quatre idées majeures ressortent du débat:
1 – Nous sommes un mouvement enraciné dans les luttes locales avec des relations et strategies internationales
2 – Nous articulons les points communs des luttes autour des quatre champs d’action de la MMF
3 – Nous créons collectivement des experiences democratiques d’autogestion auxquelles nous pouvons toutes contribuer
4 – Nous construisons des alliances qui peuvent renforcer la lutte féministe dans tous les domaines.
La tournée s’est terminée avec la « Nuit de solidarité », oú chaque pays a partagé de sa culture. Les brésiliennes ont improvisé une « batucada », une femme d’une première nation du Canada a presenté son hymne national qui est dansé, au lieu de être chanté comme d’autre hymnes. Et la portugaise a chanté une chanson sur une femme qui faisait partie de la révolution des Œillets.