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Bulletin de liaison - Volume 8, Numéro 4, Septembre 2005

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Septembre 2005, Volume 8, Numéro 4

Le relais en Extrême et Moyen-Orient
Mobilisez-vous pour les 24 heures de solidarité féministe
17 octobre, solidarité avec les burkinabès
Changer de cap: analyse des Objectifs du millénaire
Les femmes de Via Campesina en débat


RELAIS DE LA CHARTE MONDIALE DES FEMMES
23 juin 2005 - 16 août 2005

LE RELAIS EN EXTRÊME et MOYEN-ORIENT

  • Australie (23/06 – 29/06): La Charte à l’Assemblée
  • Japon (30/06 – 02/07): Contre la militarisation
  • Corée (03/07 – 05/07): En marche pour la paix
  • Philippines (06/07 – 09/07): Un relais malgré la tourmente politique
  • République démocratique du Laos: Promotion de la Charte
  • Thaïlande/Birmanie (13/07 – 16/07): Contribution conjointe
  • Inde (17/07 – 23/07): Plusieurs événements malgré la mousson
  • Iran: Une délégation accueillie en Inde
  • Pakistan (24/07 – 27/07): Des actions du matin au soir
  • Jordanie (05/08 – 09/08): Des femmes de toute la région unies en Jordanie
  • Liban (31/07 – 02/08): Les cinq valeurs à l’honneur
  • Jordanie : Agir pour la paix et les droits des femmes
  • Palestine/Jérusalem (15/08): Solidarité des Femmes en Noir



AUSTRALIE
23 - 29 juin 2005

La Charte à l'Assemblée

En Australie, une exposition a été mise sur pied à l’Assemblée législative, avec des photos, affiches, chandails et autres objets accumulés au cours de vingt années de luttes féministes. Un mur entier a été consacré à la MMF. La Charte y apparaissait bien sûr au premier plan, accompagnée de grandes photos rappelant les actions de 2000 à Washington et à New York. Ces images ont d’ailleurs rappelé la diversité des femmes du mouvement qui partagent les mêmes valeurs.

Cet événement, prévu pour ne durer qu’une journée, s’est finalement prolongé tout au long de la semaine, grâce à l’appui de la Ministre de la Femme, qui a d’ailleurs reçu la Charte au nom des Australiennes. Elle a par la suite rappelé aux élues et élus les objectifs du relais mondial et a souhaité que les cinq valeurs de la Charte continuent de se solidifier dans la communauté.

Après ce bref passage en Océanie, la coordinatrice du relais en Australie est allée en personne remettre son carré de courtepointe à ses consoeurs du Japon dont elle a trouvé le travail fort inspirant.


JAPON
30 juin - 2 juillet 2005

Relais contre la militarisation

Les Japonaises ont donc accueilli chaleureusement la déléguée australienne venue leur transmettre le relais à Tokyo au cours d’une soirée de solidarité qui a réuni plus de 40 femmes de 23 organisations. Le comité organisateur avait auparavant lancé un concours pour choisir le carré de courtepointe nippon. Heureusement, les carrés de toutes les participantes ont pu être exposés pour que les femmes puissent les admirer.

Des activités ont aussi eu lieu à Kyoto avant la grande marche d’Osaka qui a réuni plus de 600 femmes le 2 juillet et ce, malgré la pluie ! Les femmes se sont d’abord rassemblées dans un parc et on lancé leur appel à la non militarisation de leur pays qui est inscrite dans l’article 9 de la Constitution. Elles demandaient ainsi au gouvernement japonais de ne pas modifier cet article et donc de ne pas se réarmer. La manifestation s’est poursuivie par une marche dans la rue Midosuji, avec une centaine de femmes vêtues du yukata qui dansaient sur des musiques folkloriques.


CORÉE
3 - 5 juillet 2005

En marche pour la paix

Les femmes de la République de Corée ont aussi marché au tout début de juillet autour de l’hôtel de ville de Séoul. Elles étaient alors plus de 200, accompagnées d’une quarantaine de Japonaises de qui elles ont reçu le relais et d’une représentante des Philippines où le relais devait ensuite se poursuivre. Elles ont uni leurs foulards mauves, ont dansé et crié sous le regard de nombreuses personnes venus appuyer leurs revendications.

Elles ont aussi organisé une conférence publique « NON à la pauvreté, NON à la violence envers les femmes, les Femmes font la paix ». Il faut souligner que le carré de courtepointe des Coréennes est orné d’un idéogramme qui signifie « Paix » !


PHILIPPINES
06 - 09 juillet 2005

Un relais malgré la tourmente politique

Une déléguée des Philippines avait donc effectué le voyage en Corée et est revenue remettre le relais à ses collègues de Kilos Kabaro 2. L’arrivée du relais a été soulignée par une conférence de presse et une présentation publique de la Charte à l’Université des Philippines. Des ateliers et un forum ont aussi eu lieu malgré l’agitation politique qui régnait au pays au début du mois de juillet.
LAOS
Promotion de la Charte
Les femmes du Laos ont invité des membres d’ONG et des représentantes et représentants du gouvernement à admirer la courtepointe et ont distribué des t-shirts pour promouvoir la Charte et la Marche mondiale. Le relais a ensuite poursuivi sa route vers la Thaïlande.
THAÏLANDE/BIRMANIE
13-16 juillet 2005

Contribution conjointe

Pour souligner le passage du relais à Bangkok, des femmes thaï et birmanes ont préparé leurs carrés de tissu à ajouter à la courtepointe de la solidarité. Leurs équipes de coordination se sont d’ailleurs rencontrées pour la première fois au moment d’unir ces carrés. Des intervenantes qui travaillent à la promotion des droits de la femme en Thaïlande ont aussi pu rencontrer leurs homologues de la Ligue des femmes de la Birmanie grâce à la collaboration d’Altsean Burma et de Forum Asia.
INDE
17-23 juillet 2005

Plusieurs événements malgré la mousson

Le relais est arrivé de la Thaïlande/Birmanie à Kolkata (anciennement Calcutta) pour le premier événement du 18 juillet. La manifestation a été un succès monstre avec la présence de plus de 800 participantes et participants du Bengale rural, des activistes de Kolkata et d’autres dignitaires dont le maire de Kolkata et les représentants de la Commission des Femmes. Les Indiennes ont profité de cette occasion pour honorer Andhari Majhi, une femme Advasi (aborigène) qui mène une lutte pour les droits des Advasi, spécialement pour la terre, l’eau et la forêt.

D’autres événements ont eu lieu à travers le pays, malgré la mousson. En tout, six événements régionaux étaient organisés dans différents États. Une belle édition de la Charte – imprimée sur de la soie faite à la main – a aussi voyagé par Delhi, avant d’être apportée par une délégation de femmes indiennes à leurs consoeurs du Pakistan.


IRAN
Une délégation accueillie en Inde
Des Iraniennes représentant 21 groupes de femmes de tout le pays ont recueilli durant quatre mois différents carrés de tissus. Elles ont organisé une exposition et ont tenu un vote pour sélectionner celui qui allait représenter leur pays dans la courtepointe mondiale.

Trois représentantes ont ensuite voyagé jusqu’en Inde, guidées par leur désir de bâtir un monde meilleur. Elles y ont été accueillies plus que chaleureusement pas leurs consoeurs indiennes et se sont dites très fières de pouvoir saluer ainsi toutes les femmes. Elles ont lancé leur appel pour que soit abolie la discrimination raciale et pour mettre fin aux lois misogynes.

Elles retiennent de cette riche expérience une détermination accrue pour fortifier l’unité des groupes de femmes et poursuivre ensemble leur lutte, soutenues par les cinq valeurs de la Charte.


PAKISTAN
24 - 27 juillet 2005
Des actions matin au soir

Le 24 juillet, les Indiennes ont donc transmis le relais à pied par la frontière de Lahore Wangha. Des centaines de Pakistanaises et de Pakistanais ont assisté à l’événement et ont chaleureusement accueilli la Charte.

Le lendemain, un séminaire a eu lieu sur la violence envers les femmes, une pièce de théâtre a été présentée et un programme culturel a clôturé la soirée.

Les femmes ont ensuite pris le train à destination de Karachi, saluées au passage par leurs consoeurs de Sindh. La presse a couvert l’arrivée de la Charte dans la métropole et trois séminaires s’y sont tenus sur les mouvements de résistance ; le rôle des femmes dans la démocratie ; la pauvreté et la violence. Enfin, 600 femmes et hommes ont marché avec des bannières et des affiches pour clôturer ces journées de relais bien remplies.


LIBAN
31 juillet - 2 août 2005

Les cinq valeurs à l'honneur

Au Liban, les actions se sont déroulées sur deux jours, mais au cœur des discours et des cérémonies, c’est le chiffre cinq qui a retenu l’attention ! Cinq enfants ont libéré autant de pigeons et cinq bateaux ont pris la mer pendant que cinq artistes peignaient des œuvres représentant les valeurs de la Charte. Plusieurs groupes de femmes ont marché et encore marché. Elles ont planté cinq oliviers dans un parc de Tripoli. Sur des plaques de marbre ont été gravées pour l’éternité les cinq valeurs de la Charte : liberté, égalité, solidarité, justice et paix.


JORDANIE
5 - 9 août 2005

Des femmes de toute la région unies en Jordanie

Des femmes de Tunisie, de Palestine et du Liban ont assisté aux activités organisées en Jordanie et y ont même livré leurs messages. Des femmes de douze régions du pays ont aussi représenté différents groupes de femmes et organisations. Des membres de la chambre haute, du parlement et de certaines municipalités ont aussi assisté à cette activité, de même qu’une représentante de la Ligue arabe de passage en Jordanie. Cette dernière a assuré aux femmes qu’elle allait rédiger un rapport pour présenter la marche et la Charte au sein de la Ligue arabe ! En repartant, les sœurs Palestiniennes ont apporté la Charte à Ramallah, avant un atelier de « Femmes en noir » à Jérusalem.


RAMALLAH - JERUSALEM
15 août 2005

Solidarité des Femmes en Noir

À la mi-août, des centaines de Femmes en Noir d’une quarantaine de pays se sont réunies à Jérusalem pour leur 13e conférence. Elles ont présenté des études sur les conflits armés, l’oppression, la résistance et le rôle des femmes à travers tout cela, leurs visions de la paix, les défis à relever et les stratégies de lutte pacifiste, au Proche-Orient et ailleurs. Pendant ce temps, les rues de la ville résonnaient des cris de colons opposés à l’évacuation forcée de la bande de Gaza.

Au troisième jour de la conférence, plusieurs déléguées se sont déplacées à Ramallah pour aller rencontrer des militantes palestiniennes qui n’avaient pu obtenir l’autorisation d’entrer dans la ville sainte. Une rencontre animée de témoignages a traité des coûts de la résistance, des effets de l’occupation, de la construction du mur de séparation, et d’autres limitations à la liberté. C’est d’ailleurs à Ramallah que les Femmes en Noir ont reçu la Charte mondiale des femmes pour l’Humanité que des Palestiniennes avaient rapporté de la Jordanie.


Le relais s'est aussi arrêté en AZERBAIDJAN et en TUNISIE.

  


  

Textes écrits par Martine Sénécal (Liaison, Burkina Faso)

MOBILISEZ-VOUS POUR LES 24 HEURES DE SOLIDARITÉ FÉMINISTE

Le 17 octobre 2005, à midi, dans tous les fuseaux horaires de la planète, nous sortirons dans les rues pour manifester notre adhésion à la Charte mondiale des femmes pour l’humanité et à ses valeurs : égalité, liberté, justice, paix et solidarité.

Le relais commencera dans le Pacifique (Nouvelle Calédonie, Samoa, etc.), se poursuivra en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique et Europe simultanément et enfin dans les Amériques. En 24 heures, nous ferons le tour de la planète et ferons entendre nos voix.

Nous invitons tous les groupes de femmes à se joindre à nous. Agissons ensemble ce 17 octobre en organisant des actions publiques !

La consigne est d’être simple, positive, d’être reliées les unes aux autres pour démontrer que les femmes sont unies, avec nos différences et nos ressemblances.

Le 17 octobre 2005, certaines feront sonner les cloches et les alarmes des villes et villages, signifiant ainsi que les femmes se mobilisent dans le monde entier pour défendre haut et fort les valeurs de la Charte. D’autres organiseront des vigiles ou des actions où les femmes se donneront la main pour former des liens de solidarité.

Envoyez vos informations à: 24hrs2005@gmail.com  

 

17 OCTOBRE, SOLIDARITÉ AVEC LES FEMMES BURKINABÈ

En achevant le relais de la Charte mondiale des femmes pour l’humanité en Afrique, le 17 octobre, nous voulons exprimer notre solidarité avec les femmes d’Afrique. Pour concrétiser cette solidarité, nous comptons remettre à une jeune femme burkinabè une bourse qui lui permettra de suivre des études de journalisme. Nous souhaitons ainsi marquer le rôle que la presse peut jouer dans l’émancipation des femmes si plus de jeunes femmes deviennent elles-mêmes actrices et productrices d’information.

La Marche au Burkina est particulièrement sensible à la place trop restreinte, qu’occupent les femmes dans les médias africains, aux sujets auxquels on a tendance à les confiner (inaugurations de maternités, projets d’aide maternelle) et aux stéréotypes que la presse véhicule. En 2004, elle a publié une étude sur les stéréotypes sur les femmes dans la société burkinabè (voir notre Bulletin de liaison de septembre 2004) et organisé une formation pour sensibiliser les journalistes à cette question. Enfin, la place des femmes dans les médias électroniques est faible.

Seule une présence accrue de jeunes femmes dans les médias fera que ceux-ci accorderont plus de place aux réalités que vivent les femmes africaines, difficultés (violence, exposition à l’épidémie HIV/Sida), comme réussites (comme cheffes d’entreprise, artistes, femmes politiques).

La bourse que nous voulons octroyer est d’une valeur de 5 000 euros (6 000 $US). Ceci représente quatre ans d’études universitaires à l’université de Ouagadougou ainsi que les frais annexes : achat de livres, logement, nourriture, déplacement.

NOUS AVONS BESOIN DE VOTRE SOLIDARITÉ POUR OBTENIR CE MONTANT.

Vous pouvez organiser une collecte auprès de vos membres ou mettre sur pied des actions bénéfices (soupers, soirées culturelles, vente d’objets promotionnels…). Cette bourse est un moyen concret d’exprimer notre solidarité avec les femmes d’un des pays les plus pauvres de la planète. Nous comptons sur vous !

De manière pratique, nous vous demandons de nous indiquer le montant que vous vous engagez à donner (si la somme recueillie dépasse 5 000 euros, nous pourrons offrir une seconde bourse) et vous pouvez amener l’argent avec vous si vous venez au Burkina Faso ou le confier à la déléguée de votre coordination nationale si celle-ci vient. Si non, vous nous faites parvenir un chèque (en dollars US ou en euros) ou mandat poste à l’ordre de la Marche mondiale des femmes avec mention bourse d’études. Le Comité international et la coordination du Burkina Faso seront responsables d’attribuer cette bourse.

CHANGER DE CAP: ANALYSE DES OBJECTIFS DU MILLÉNAIRE

Du 14 au 16 septembre 2005, les chefs d'État se retrouveront à l'ONU, à New York, pour analyser les progrès réalisés en cinq ans, dans la mise en oeuvre des Objectifs de développement du millénaire (ODM). Adoptés en septembre 2000, les ODM sont au nombre de huit:

  1. Réduction de l'extrême pauvreté et de la faim
  2. Assurer l'éducation primaire pour tous
  3. Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes
  4. Réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans
  5. Améliorer la santé maternelle
  6. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d'autres maladies
  7. Assurer un environnement durable
  8. Mettre en place un partenariat mondial pour le développement

Comme on le voit, seul un Objectif s'intéresse explicitement à la place des femmes dans la société. Il est pourtant largement insuffisant. De même, les autres ODM devraient tous avoir comme préalable la promotion de la place des femmes dans la société.

Ces ODM sont très en retrait sur la plupart des textes internationaux qui concernent les femmes: plateforme de Beijing, Convention pour l'élimination de toutes les discriminations à l'égard des femmes, Conférence du Caire sur la population (1995), et surtout ils sont loin des affirmations que nous avançons dans la Charte mondiale des femmes pour l'humanité.

Les ODM risquent d'être, de plus en plus, la référence adoptée par les États pour faire valoir leurs réalisations, et comme certains rendez-vous (rencontre de l'Organisation mondiale du commerce à Hong Kong en décembre 2005 notamment) sont proches dans l'année, nous avons écrit un texte qui fait état des réflexions de la Marche mondiale des femmes sur les ODM.

Les groupes membres de la Marche recevront ce document par la poste. Il est également téléchargeable sur ce site.

Brigitte Verdière, Communications Secrétariat international

 

LES FEMMES DE VIA CAMPESINA EN DÉBAT

Les femmes membres du mouvement paysan Via Campesina se sont réunies en République dominicaine entre le 1er et le 6 août 2005. La session de la Commission internationale femmes de Via Campesina se déroulait en même temps que la 4ème rencontre internationale sur les droits humains.

La rencontre a réclamé avec force l’universalité des droits humains, qui sont individuels, collectifs, qui appartiennent aux peuples et non au capital.

Des centaines de déléguées venues de 15 pays du monde entier ont également évoqué la violence envers les femmes et la souveraineté alimentaire, le tout vu selon les perspectives propres à chaque pays.

Dans son discours inaugural, Juana Ferre, secrétaire générale de la CONAMUCA (Confédération nationale des femmes paysannes, de République dominicaine) a insisté sur la nécessité et l’importance que les organisations paysannes fassent entendre leur voix et disent clairement leur point de vue sur les accords commerciaux tels les traités de librement commerce, qui hypothèquent leur avenir.

Les déléguées aux deux événements, qui représentent des millions de personnes vivant de l’agriculture, cherchent à mener des actions concertées pour renverser le néolibéralisme et les décisions imposées par l’Organisation moniale du commerce, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et autres institutions dont les politiques mercantilistes mettent en péril non seulement la vie dans les campagnes mais celle de toute la planète et de l’humanité.

Vía Campesina est un mouvement international qui coordonne les organisations paysanne de petits et moyens agriculteurs, les femmes et les communautés autochtones d’Afrique, d’Europe, d’Amérique et d’Asie. Le mouvement est engagé dans la construction d’un monde juste et égal. Il lutte aussi contre le patriarcat et adopte des politiques et des propositions en faveur de l’égalité entre les sexes, la diversité et les droits des femmes rurales dont l’accès à l’égalité est une priorité.

Sources : Minga Informativa de Movimientos Sociales, Pasa la Voz

Collaboratrices

Merci à toutes les femmes des pays où passe le relais qui nous transmettent régulièrement de l’information. Certaines informations sont, quant à elles, extraites de journaux nationaux.

Merci aux collaboratrices de Bulletin de liaison : Élise Boyer (traductrice vers l’anglais), Michelle Briand (traduction vers le français), Nancy Burrows (Secrétariat international), Nicole Kennedy (traductrice vers l’anglais), Diane Matte (Secrétariat international), Magaly Sala-Skup (traductrice vers l’espagnol), Martine Senécal (Agente de liaison), Brigitte Verdière (Communications).


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Last modified 2006-05-12 03:05 PM
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